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kaleidoscope
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Et dans la lumière


 

12h 51

Nous avons marché longtemps,
Nous avons peiné souvent,
Et dans la poussière,
Notre pas lonlère,
Est devenu moins pesant:

En allant lonlère,
Ce chemin de terre,
Nous nous sommes retrouvés,
A la même allure,
Belle l'aventure,
Que nous avons partagée!

 

 

(chanson de jeunesse apprise en camp en 1966)

 

j'enregistrerai plus tard,pour donner une idée de ce chant

c'est l'un de ceux qui m'ont décidée à apprendre la guitare

 

je l'ai eu dans la tête ce matin au réveil, à l'heure où l'on portait notre frère en terre, dans son village montagnard d'adoption, bien loin de la douce Gironde...

 

 

Chaque mot y a son sens

 

 

il voulait devenir journaliste

et c'est ce qu'il fut avec tellement de brio! "en beauté"!

"Belle l'aventure"!

 

et sur ce chemin, proche du sport

nous nous sommes, sans qu'il s'en doute, sans qu'il le sache

"retrouvés"

 

loin et près de la "poussière" des terrains de jeux!

 

 

que notre pas (lonlère) continue léger et joyeux!

 

maintenant, dans la lumière

de la nuit claire

IL SAIT!

 

 

K

 

pour moi, l'aventure continue!!!!

 

13h 04

en mai, je reprendrai, après les vacances scolaires, probablement mon chemin de journaliste locale
espérons!

que ton étoile multicasquette
de sportif
de journaliste officiel, national,
fixée pour toujours au panthéon
au firmament
m'éclaire
moi la petite soeur de l'ombre!

la plume vaincra
comme le ballon, la raquette
le maillot
ou le roller!

K

 

fleurdatlas | 4/18/2015
je suis sensible aux signes
de tendresse
d'affection
de compassion
d'amour

petite nana, occupée à ne pas faire d'ombre à autrui
à ne pas ternir les chromo d'Epinal de la press-people!

petite maman occupée à servir parents comme enfants et petits-enfants
petite cuisinière "enflammée"

dans cette famille où tous "Mozart", un seul eut le droit de vraiment le révéler
je suis en train d'écouter un concerto de Mozart pour clarinette
et cela m'enchante et résonne en moi comme un pied de nez au sort, j'entends le rire enfantin et fou de Wolfy dans le film de Forman
j'ai envie de faire des grimaces et de tirer la langue fort irrévérencieusement

j'entends Wolfy me dire:
" - oh Stanzie, où es-tu?
Tu "prends les eaux" pendant que je me meurs?

- Non Wolfy, je veille auprès de nos mères!

63 ans d'amour et de veille!
tu comprends Wolfy?

[Ya, Wolfy vertsteht doch gut!]

et le concerto aborde son adadgio
si poignant et doux

je te sourie Wolfy
Quels beaux concerti tu as écrit
tu t'en vas jeune, mais quel TALENT!

je te sourie en clin d'oeil
et force du destin
d'autant plus que je continue auprès de ta maman
tu vois, je suis fidèle
au-delà de tout, fidèle!"

commentaire du 18 avril 2015 à 13h 30
fleurdatlas | 11/21/2015
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